Les artificiers du swing

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, les grandes formations de jazz ont vu fondre leurs ressources financières et leurs effectifs mobilisés au front. La nouvelle donne musicale, économique et sociale les a conduits à promouvoir des formes d’expressivité poussées au paroxysme. En terme de rythme, de puissance sonore et d’intensité émotionnelle s’est créé un véritable langage identitaire. Dans les dancings des grandes métropoles, une saine émulation a mis aux prises les grands orchestres dont les meilleurs ont eu la plus grande longévité ; sortent du lot : Lionel Hampton, Cab Calloway et Erskine Hawkins qui sont restés les pensionnaires attitrés des grandes salles de danse jusqu’au tournant des années cinquante, en s’affirmant comme les artificiers du swing !

LES SENS DU SWING

  • Animé par : Mister Lucky
  • Diffusion : Les 2èmes jeudis du mois à 20h ; rediffusion le dimanche suivant à 16h

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